Daniel Solis pour vous servir ! ;)

Votre caractère :::
Comment est-ce que je pourrai qualifier Daniel ? Et bien tout d'abord, si je devais le présenter sous ses plus beaux jours, je parlerai de son sens de l'amour unique, de sa répartie à faire frémir n'importe qui ainsi que de son charme éternel, sans oublier sa sensibilité à couper le souffle. Oh oui, si je devais vanter ses qualités, j'aurai beaucoup à dire ! Mais, personnes de notre entourages, nous ne portons que peu d'importances aux bons points des autres ; s’attardant plutôt sur les points noirs du tableau. Daniel n'est pas parfait, loin de là ! La perte de sa jeune épouse lui a laisser un énorme creux au niveau du coeur, et c'est quelqu'un qui a endossé une carapace pour cacher son amertume et son mépris pour tout le monde, êtres vivants ou non. Daniel est quelqu'un de téméraire, qui ne vous lâchera pas une fois qu'il aura posé son grappin sur vous, il peux être méchant et vicieux ; mais son plus grand défaut est que c'est quelqu'un de faux. Il est comme mort de l'intérieur et ne s'abandonne pas à la mort parce qu'il sait très bien que sa femme défunte serait contre.

Votre histoire :::
Que dire de mon histoire ? Je suis né le 15 juillet 1987 le petit Etat du Missouri. Ma mère s'appelait Annabella Winchester, et elle m'a eu alors qu'elle n'avait que seize ans. Elle se promenait la nuit, rentrant d'une petite "boum" lorsqu'elle s'est faite attaquée puis violée. Neuf mois plus tard, me voilà. Ma mère s'était faite rejetée de sa famille, qui n'arrêtait pas de lui répéter que c'était de sa faute si elle avait été agressée. Les premières années de ma vie, je l'ai passée dans la rue, sous les ponts, avec une mère aimante qui ne m'élevait qu'avec les moyens du bord, comme elle le pouvait. Et je ne l'en remercierais jamais assez. Elle est morte d'une overdose alors que je venais tout juste d'avoir 18 ans et je me suis retrouvé tout seul. J'ai été à l'école comme tout le monde, mes notes étaient plutôt mauvaise même si j'étais un élève très intelligent, le soir je n'avais pas le temps - et, autant le dire, aucune envie- de travailler. Les lois de la rue, de la Bicrave ; ce sont les seuls lois que je connaissais et que je connais toujours. Heureusement que j'avais quelques amis bien placés! Des gosses de riches qui m'autorisaient à aller chez eux, à dormir chez eux, à manger. Malgré le fait que je passai presque toute ma vie dehors, dans la rue, qu'avec ma mère, je savais lui rendre grâce lorsque je la voyais. Et elle ne désirait que mon bonheur alors elle ne m'interdisait pas d'aller chez mes amis pour jouer d'un quelconque instrument ou je ne sais quoi encore!

Suite au décès de ma mère, j'ai voyagé énormément et j'ai finalement attérit ici : en France. A vingt ans j'ai croisé le regard d'une serveuse dans un petit restaurant routier, il était bleu et appartenait à une blonde plus que belle. Elle s'appelait Sophie, et je l'ai aimé dès l'instant où mes yeux s'étaient posés sur elle. Nous nous sommes installés ensemble puis mariés, j'avais vingt-deux ans. Elle est morte un an plus tard : renversée par une voiture.

J'ai donc enterré les deux femmes les plus importantes de ma vie : ma mère et ma femme. Je crois que jamais je ne m'en remettrai jamais. Le pire ? C'était qu'elle savait pour mon .. "don", si je peux appeler ça comme ça. Je sais lorsque les gens mentent. Je ne sais pas comment le décrire mais lorsqu'ils ne disent pas la vérité c'est comme si quelque chose me dérangeait. Enfin j'essayerai d'expliquer en détail un jour ! J'ai donc fais des recherches sur Internet et découvert ce Pensionnat. J'ai postulé comme professeur de Français et me voilà !